Les primes que perçoit un salarié en contrepartie de son travail habituel de nuit s’ajoutent à sa rémunération de base et constituent un élément normal et non exceptionnel de sa rémunération. Les primes de travail de nuit sont donc maintenues en cas de chômage d’un jour férié.
(Cass. Soc, 27/06/12 n°10-21306)